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Minna LaFortune en route vers les GRAMMY® 2026 avec Dance with Me, Vol. II

  • 13 sept.
  • 3 min de lecture

minna lafortune

La scène reggae internationale s’enflamme avec l’annonce de la chanteuse jamaïcaine Minna LaFortune, basée à Brooklyn, qui vient de soumettre son dernier projet Dance with Me, Vol. II pour la prestigieuse catégorie Best Reggae Album aux 68ᵉ GRAMMY® Awards, prévus le 1er février 2026 à Los Angeles.


Un album aux frontières du reggae et des musiques du monde


Sorti le 7 juin 2025, Dance with Me, Vol. II n’est pas un simple album reggae : il tisse des passerelles entre le reggae, l’afrobeat, le dancehall et l’amapiano, offrant une fresque sonore moderne, engagée et festive. Chaque morceau porte un message universel : paix, unité, justice sociale, conscience écologique et célébration de la vie.

La presse spécialisée a déjà salué le projet. Pull-Up Magazine le décrit comme :


« Un album où chaque chanson porte un message puissant — qu’il s’agisse d’un appel à l’unité, à l’amour ou à la prise de conscience sociale. La voix émotive de Minna LaFortune, alliée à des rythmes captivants, en fait un incontournable pour les amateurs de reggae et pour tous ceux qui croient en la musique comme catalyseur de changement. »

Des morceaux phares en lice pour deux autres GRAMMY®


Deux titres phares de l’album ont été soumis dans des catégories spécifiques :

  • “Cease Fire” – Best Global Music Performance : un hymne poignant contre la violence urbaine, qui évoque les tragédies vécues à New York, Haïti, Trinidad et Soweto. Sur une base reggae “new roots” teintée de hip-hop, Minna chante : « Too many young people lose their lives in their teens, in their twenties, caught in a cycle of death and violence. »

  • “Global Warming” – Best Song for Social Change : une chanson militante qui rappelle au monde l’urgence d’agir contre le réchauffement climatique et de protéger notre planète.



Le parcours d’une voix engagée


Née à Kingston (Jamaïque) et installée depuis plusieurs années à Brooklyn (NY), Minna LaFortune a reçu une solide formation musicale à Ardenne High School sous la direction du regretté Dr. Noel Dexter, OD. Elle s’est illustrée au sein du Diocesan Festival Choir et du Methodist Chorale, avant de décrocher la médaille de bronze soprano solo lors du Jamaica National Music Competition en 1975.


Ses influences croisent les grands noms du reggae comme Bob Marley, Dennis Brown ou Marcia Griffiths, mais aussi les icônes jazz et soul Nancy Wilson et Aretha Franklin. Depuis la sortie de son premier album Dance with Me, Vol. I en 2023, suivi de Caribbean Christmas, elle trace une trajectoire ascendante, affirmée par ce second opus.


Une artiste pluridisciplinaire et militante


Au-delà de la musique, Minna LaFortune s’illustre comme co-fondatrice et présidente de la Society for the Advancement of the Caribbean Diaspora (SACD) et comme fondatrice de l’ensemble vocal Afro Carib-A Singers. Elle partage également son héritage culinaire caribéen à travers des contributions dans la presse (NewsAmericaNow.com, Caribbean News Weekly, WiredJa). Un livre réunissant sa poésie et ses recettes caribéennes est en préparation.


Une mission artistique tournée vers l’avenir


Avec Dance with Me, Vol. II, Minna LaFortune livre bien plus qu’un album : un manifeste artistique qui célèbre l’héritage caribéen, promeut la joie, l’unité et l’empowerment, et qui ambitionne de connecter les cultures à travers la diaspora africaine et au-delà.


Alors que l’industrie musicale retient son souffle avant les annonces officielles des nominations aux GRAMMY® 2026, une chose est sûre : Minna LaFortune s’impose comme une voix majeure du reggae contemporain, porteuse d’espoir et de changement.


« Tout aussi engagée envers la réalité, la Jamaïcaine Minna LaFortune attire l’attention dans son nouveau single Cease Fire sur la violence urbaine dans son pays, à New York, en Haïti, à Trinidad et à Soweto. Sur une puissante base reggae new roots mêlée d’éléments hip-hop, LaFortune chante à partir du drame : “Trop de jeunes perdent la vie à l’adolescence ou dans la vingtaine, piégés dans un cycle de mort et de violence.” »

Daniel Flores (Rédacteur en chef de Rolling Stone Argentina)


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