C’est un événement que les amateurs de reggae ne voudront manquer sous aucun prétexte. La légende vivante Johnny Osbourne  s’associe au charismatique Tarrus Riley  et au saxophoniste virtuose Dean Fraser  pour offrir une relecture vibrante de l’un de ses titres les plus emblématiques : “We Need Love” . Initialement paru en 1979 sur l’album mythique Truth & Rights  produit par Studio One, ce morceau n’avait jamais eu droit à une sortie en single. Il revient aujourd’hui dans une version inédite, pleine de ferveur et de profondeur, portée par deux générations d’artistes engagés dans la transmission de la culture roots et du message d’unité. ✨ Un hymne revisité pour notre époque Cette collaboration n’est pas seulement un hommage au reggae classique : elle insuffle une nouvelle vie au morceau, avec des arrangements contemporains, la voix suave de Tarrus Riley et les lignes de sax envoutantes de Dean Fraser. Le tout sublimé par l’énergie intacte de Johnny Osbourne, qui continue de porter haut la flamme du reggae conscient. 📀 Sortie digitale le 1er août 2025 Disponible sur toutes les plateformes de streaming, ce titre marque aussi le lancement du nouvel album de Johnny Osbourne, intitulé Universal Love Showcase , prévu pour le 29 août 2025  sous le prestigieux label VP Records . 🗣️ “Make a joyful noise!” : plus qu’un slogan, une invitation à célébrer l’amour, la musique, et l’héritage culturel jamaïcain dans ce qu’il a de plus authentique et universel. 👉 “We Need Love” – une version 2025 pleine d’âme pour un message éternel. Rendez-vous le 1er août pour appuyer sur "play"… et laisser parler l’amour.

Le 11 juillet dernier, le Théâtre Antique de Vienne vibrait aux couleurs de l’Afrique pour une All Night Long mémorable, en clôture de la 44e édition du festival Jazz à Vienne. Une nuit entière dédiée à la richesse et à la diversité des musiques africaines, avec en point d’orgue la venue très attendue de Tiken Jah Fakoly, figure emblématique du reggae engagé. Actuellement en tournée avec son superbe album Acoustic, sorti le 16 février dernier, l’artiste ivoirien est venu partager bien plus que des chansons : un message. Celui d’unité, de résistance et d’espoir. Et le public, plus de 7500 personnes, ne s’y est pas trompé. Dès les premières notes, les chants ont résonné, les corps ont dansé, les cœurs ont vibré. Avant lui, la scène avait déjà accueilli une série de performances riches en émotions : Ninanda, lauréat du Rezzo Jazz à Vienne 2024, a ouvert le bal avec les titres de son nouvel album A Place Where. Les Nana Benz du Togo ont électrisé le public avec leur digital voodoo envoûtant.  Le mythique Seun Kuti & Egypt 80 a ensuite pris le relais, portant haut l’héritage de son père Fela Kuti et l’afrobeat engagé.  Puis le collectif BCUC a déchaîné les énergies avec ses percussions tribales, avant que NickyB ne fasse vibrer les platines jusqu’au bout de la nuit. Sans oublier Olaïtan, la fanfare venue du Bénin, dont les percussions traditionnelles ont rappelé à chacun les racines profondes de cette musique vivante. Tiken Jah Fakoly déroule un concert intense, ponctué de ses titres phares et de messages forts.  À Vienne ce soir-là, le reggae n’était pas qu’un genre musical. Il était une arme de conscience, une main tendue, une célébration. Une fois de plus, Tiken Jah Fakoly a prouvé qu’il n’était pas seulement un chanteur, mais un messager. Et le public, du premier rang jusqu’au sommet du théâtre, l’a reçu avec amour.

Originaire d’Angleterre et né de parents ougandais, Birungi Kiremire, alias Proklaim, trace un parcours singulier à travers le monde. Après avoir passé son enfance en Zambie, il s’installe en Namibie, où il forge sa passion pour le hip-hop et découvre sa vocation : glorifier le nom de Dieu à travers la musique, en alliant excellence artistique et ferveur spirituelle. Le 17 juillet 2025, Proklaim a révélé sur SoundCloud son dernier projet, « CREEPIN/FURTHER (2 IN 1).wav », un double single témoignant de sa volonté de repousser les frontières sonores. Cette création fusionnelle, classée dans la catégorie « World », mêle habilement amapiano, boom bap et reggae, trois univers musicaux qui portent chacun la marque de son parcours. Un mariage de styles pour un message universel Le concept « 2 in 1 » prend tout son sens ici : chaque morceau déploie sa propre identité, tout en dialoguant avec l’autre. La première partie, « CREEPIN », puise son énergie dans l’amapiano, ce sous-genre de house sud-africaine reconnu pour ses nappes de synthétiseurs, ses mélodies répétitives au piano et ses percussions « log drum ». Proklaim y glisse des paroles de reconnaissance et d’adoration, portées par un beat dansant et planant. La seconde partie, « FURTHER », bascule dans un univers plus brut, où le boom bap classique – rythmes secs, kicks profonds et snares claquants – sert d’écrin à un flow incisif. C’est un retour aux fondamentaux du hip-hop, mis au service d’un message spirituel puissant : repousser ses limites pour se rapprocher de Dieu. En filigrane, le reggae fait entendre ses accents, notamment dans les lignes de basse profondes et le jeu de guitare sur les temps faibles, conférant à l’ensemble une dimension méditative et ancrée dans la tradition caribéenne. Ce mélange audacieux d’influences africaines, jamaïcaines et américaines illustre parfaitement l’identité nomade et multiculturelle de Proklaim. Une démarche spirituelle et artistique Au-delà de l’exercice de style, « CREEPIN/FURTHER (2 IN 1).wav » affirme la vision de Proklaim : faire du rap un vecteur de foi, accessible à un public mondial tout en restant fidèle à ses racines. L’artiste y déploie un chant de louange moderne, où chaque production musicale est pensée pour sublimer le texte et inviter à la réflexion spirituelle. Ce single marque une étape importante dans sa carrière : il consolide son identité artistique et proclame son ambition de contribuer à l’émergence d’un « rap gospel » à la croisée des continents. À travers ce double morceau, Proklaim pose une pierre supplémentaire à l’édifice de la musique chrétienne contemporaine, prêt à rayonner bien au-delà des frontières de la Namibie. Perspectives et tournées Fidèle à sa vocation d’excellence, Proklaim envisage déjà une série de concerts en Afrique du Sud et en Europe, où il entend partager la scène avec d’autres artistes chrétiens et porter son message au cœur des grandes métropoles. Avec « CREEPIN/FURTHER », il poursuit son chemin de foi et d’innovation, déterminé à inspirer et à fédérer par le pouvoir universel du hip-hop.

Un tube à partager sans modération Dès les premières secondes, vous êtes happé par un riff de synthé rétro ultra catchy et un beat percutant qui vous pousse irrésistiblement à bouger. Entre nappes aériennes et basses profondes, le morceau crée une atmosphère à la fois dansante et planante, idéale pour accompagner vos soirées entre amis ou vos sessions de travail créatif. Qui se cache derrière Jmusiz ? Producteur et compositeur passionné, Jmusiz navigue entre différents styles depuis le début des années 1990. Après plusieurs EPs et remixes reconnus sur la scène électro indépendante, il revient cet été avec un son mûri, où chaque détail de production est soigné pour offrir une immersion totale. Pourquoi écouter « Girl I Know Your Name » ? Énergie contagieuse :  un groove calibré pour vous donner la pêche dès le premier play. Production léchée :  mixage et sound design aux petits oignons, pour un rendu à la fois chaud et cristallin. Format parfait pour le streaming :  moins de 3 minutes pour un impact maximal, taillé pour les playlists et les réseaux sociaux. Regardez la vidéo officielle  et laissez-vous transporter par la vibe unique de Jmusiz :

Le trio indie grec Stray Blue  revient avec une ballade aussi simple que bouleversante : “Wake Up & Smile (Acoustic Version)” , extrait de leur nouveau projet deux titres prévu pour le 18 juillet . Dans un monde où tout va trop vite, cette chanson est une pause suspendue dans le temps , une invitation à respirer, ressentir... et avancer. 🌅 Une guitare, des émotions, et un message universel Tout commence avec quelques accords de guitare acoustique, posés avec une sincérité désarmante. Puis vient la voix — douce, intime, presque chuchotée , comme une conversation à cœur ouvert. Les paroles, à la fois simples et profondes, nous parlent d’amour, de perte, de souvenirs qui font mal et réchauffent à la fois. Mais surtout, elles nous rappellent une chose essentielle : “Life is not always the way you want it to be… just wake up and smile.” 🎧 Une expérience d’écoute intime et lumineuse Pas besoin d’artifices ici : tout est dans l’émotion brute. "Wake Up & Smile"  est un morceau qui touche directement l’âme. Il parle à tous ceux qui ont connu un tournant, une fin, une renaissance. Il est le compagnon parfait des jours gris, des remises en question, ou simplement de ces matins où l’on cherche un peu de lumière. 📀 Un vinyle collector pour les amoureux du beau son Cerise sur le gâteau : le projet Wake Up & Smile , comprenant aussi l'élégant titre “Moody Sky”  en collaboration avec le violoncelliste renommé Yoed Nir , sortira également en édition limitée vinyle 7 pouces . Un must-have pour les collectionneurs et les fans de musique sincère. 👉 Disponible dès le 18 juillet  sur strayblue.bandcamp.com . 💙 Avec Stray Blue , la mélancolie devient douce, la douleur devient poésie, et le silence devient musique. “Wake Up & Smile” n’est pas juste une chanson : c’est un câlin musical, une lumière dans le brouillard, un mantra pour les jours difficiles.

Avec son nouveau single « Adderall » , Babyboii , artiste originaire de Houston (Texas), poursuit son exploration introspective de la vie moderne, entre tensions intérieures et quête de paix. Ce morceau, à la fois sensible et percutant, dévoile une autre facette de l’artiste, plus vulnérable, mais toujours fidèle à son esthétique chill et authentique. Un titre au cœur du mal-être contemporain « Adderall » fait référence au médicament souvent prescrit pour les troubles de l’attention et parfois détourné pour faire face à la pression mentale. Babyboii s’en sert comme métaphore d’un déséquilibre intérieur , d’un esprit bousculé qui tente de reprendre le contrôle. Il y évoque ses luttes contre l’anxiété, les moments de déconnexion, mais aussi les tentatives – parfois vaines – de rester fonctionnel dans un monde bruyant. Un flow apaisant pour un message fort Ce qui frappe dans « Adderall », c’est le contraste entre le propos lourd et la musique délicate , presque vaporeuse. La voix de Babyboii, toujours aussi douce et posée, glisse sur un instrumental minimaliste aux accents R&B alternatifs. Le résultat est hypnotique , presque méditatif, comme un refuge auditif pour celles et ceux qui se reconnaîtront dans ces tourments. Une sincérité sans détour Dans la lignée de ses précédents titres comme Pelham Parkway , Babyboii continue de puiser dans ses expériences personnelles pour nourrir sa musique. « Adderall » ne cherche pas à séduire par l’esbroufe, mais touche par sa sincérité brute . Il ne joue pas un rôle : il se livre, sans artifice. Vers un album thérapeutique Ce single s’inscrit dans la préparation de son prochain album , annoncé pour la fin de l’année. Un projet que l’artiste décrit comme une expérience musicale et émotionnelle complète , pensée pour apaiser, accompagner, voire libérer. 🎶 Babyboii – Adderall Disponible dès maintenant sur toutes les plateformes de streaming Une chanson pour tous ceux qui connaissent la pression mentale, et cherchent à respirer. 🔗 À écouter d’urgence si vous aimez la musique vraie, vulnérable, et profondément humaine.

Cet été, le label Mystic Firm Production  gâte les amateurs de reggae avec deux sorties marquantes et complémentaires : ▶️ “Reggae Free My Mind”  d’ Anthony B ▶️ “Duppy Catcher”  de Perfect Giddimani x Mystic Firm . Deux titres forts, deux atmosphères, une même flamme : celle d’un roots reggae vivant, moderne et spirituel . 🌞 Anthony B – Reggae Free My Mind 🎧 Écouter  | 📺 Clip officiel Icône incontournable du reggae mondial, Anthony B  revient avec un single solaire et puissant, qui sonne comme une grande respiration : “Reggae free my mind, music ease my soul…” Sur une production Mystic Firm soignée, mêlant clarté moderne et groove traditionnel, l’artiste jamaïcain déploie son flow unique. “Reggae Free My Mind”  est un hymne feel-good, parfait pour les playlists estivales, les sessions plage ou les longs trajets sous le soleil. Accessible, entraînant, fédérateur, le morceau incarne à la perfection la philosophie reggae : liberté, conscience et vibrations positives. 🟢 À ne pas manquer si vous aimez :  Protoje, Busy Signal version roots, ou les grosses vibes de festival. 👁️ Perfect Giddimani x Mystic Firm – Duppy Catcher 🎧 Écouter  | 📺 Clip officiel Changement d’ambiance avec “Duppy Catcher” , deuxième extrait de l’EP à venir du crew Mystic Firm , porté par la voix mystique et toujours habitée de Perfect Giddimani . Ici, le riddim est plus sombre, plus méditatif. On entre dans une atmosphère spirituelle, presque cérémoniale, où l’artiste chasse les esprits néfastes ( duppies ) à grands coups de lyrics incisifs et vibrants. Un pur chant rasta , où la musique devient protection, arme spirituelle, rituel sonore. “Duppy Catcher” s’inscrit dans la grande tradition des morceaux de reggae mystique, à mi-chemin entre Burning Spear , Midnite  et les méditations digitales contemporaines. 🟤 À écouter casque sur les oreilles ou encens allumé. 🔥 Deux visions, un même message Que vous soyez en quête de good vibes dansantes  ou d’ expériences méditatives , ces deux singles montrent toute la richesse du reggae actuel : enraciné, mais ouvert ; engagé, mais accessible. 🔗 À suivre :  L’EP de Mystic Firm arrive courant 2025… et promet déjà de faire du bruit dans les sphères roots.

Le retour d’un souffle mythique du rap français Avec « Pa Moli », les membres historiques du Saïan Supa Crew signent un retour brûlant d’actualité. Réunis sous le nom de SSC4EVER , Sir Samuel, Sly Johnson, Specta et Vicelow font vibrer l’âme du Saïan dans une version 2025, plus vivante que jamais. À travers cette nouvelle formation, ils restent fidèles à leur ADN d’origine : musicalité plurielle, message fort, et métissage assumé. Ce premier titre marque le lancement de Saïan Supa Celebration , un projet scénique et musical d’envergure célébrant à la fois l’héritage du collectif et l’émergence de nouveaux talents. Un pont entre générations et territoires Pour « Pa Moli », SSC4EVER invite 1T1 , jeune prodige guadeloupéen, à poser sa voix en créole sur une rythmique bouyon enflammée. Cette rencontre intergénérationnelle est tout sauf anodine : elle illustre la volonté du groupe de transmettre, de passer le flambeau tout en continuant à explorer. 1T1 incarne cette jeunesse consciente, enracinée dans son île et tournée vers le monde. Son énergie brute et son flow créole résonnent avec les textes ciselés du collectif, donnant au morceau une puissance singulière. Un son bouyon, une mission sociale « Pa Moli » signifie « Ne lâche pas » . C’est à la fois un slogan, un cri du cœur, et une boussole pour celles et ceux qui avancent dans la tempête. La production, inspirée du bouyon , genre caribéen à haute intensité percussive, donne au morceau une cadence irrésistible. Festive et militante, cette musique est pensée comme un outil de célébration et de résistance. On danse, oui, mais on réfléchit aussi. On célèbre l’unité, la persévérance, la force du collectif. Un héritage qui évolue sans se trahir Ce retour ne sent pas la nostalgie. Saïan Supa Celebration , ce n’est pas un revival figé, c’est une continuation vivante , un hommage qui regarde droit devant. Les quatre artistes montrent qu’ils n’ont rien perdu de leur exigence ni de leur créativité. Leur alchimie fonctionne toujours, mais elle se nourrit aujourd’hui de nouvelles sonorités : afro-caribéennes, jazz, soul, rap , le tout porté par un message ancré dans les réalités contemporaines. Un clip à l’image du morceau : vibrant et humain Le clip de « Pa Moli », disponible sur YouTube, est une ode à la diversité et à la chaleur des échanges humains. Entre Paris et Pointe-à-Pitre, entre studio et scène, il montre les visages d’une génération connectée, fière, debout. Des images qui renforcent la dimension universelle du morceau : peu importe d’où l’on vient, l’essentiel est de ne pas plier, de continuer à avancer ensemble. Avec "Pa Moli", SSC4EVER ravive la flamme d’un collectif mythique tout en tendant la main à l’avenir. Un titre percutant, dansant, conscient, qui célèbre la résilience , le métissage  et la transmission .À écouter fort, à vivre ensemble.

Certains morceaux naissent pour bouleverser. Hacernos Así , nouveau bijou dévoilé par le collectif Africa Express , ne se contente pas de séduire l’oreille : il touche l’âme. Ce titre incandescent scelle une rencontre humaine, politique et musicale d’une rare intensité. Au centre, la voix de Luisa Almaguer , autrice-compositrice mexicaine transgenre et militante, irradie de vérité et de vulnérabilité. « Te propongo algo, quitarnos la ropa, y hacernos así  »Une phrase simple, nue, universelle. Une invitation à tomber les armures, à se révéler sans fard. Autour d’elle, une constellation d’artistes d’exception : Damon Albarn  (Blur, Gorillaz) au piano, Joan As Police Woman  au violon, Nick Zinner  (Yeah Yeah Yeahs) à la guitare, Seye Adelekan  à la basse, sublimés par la production du Mexican Institute of Sound . Ensemble, ils tissent un morceau délicat et brut à la fois, à fleur de peau, capté en deux prises à peine, dans une intensité telle que les musiciens en ont été bouleversés aux larmes. 💿 Africa Express presents... Bahidorá  : un manifeste sonore planétaire Hacernos Así  est le deuxième extrait du nouvel album « Africa Express presents... Bahidorá » , enregistré au Mexique lors du festival du même nom. Véritable laboratoire musical à ciel ouvert, le projet réunit des artistes de quatre continents  et transcende les genres : du reggaeton au kuduro, du rap à la cumbia, en passant par les fanfares indigènes du Oaxaca, la salsa, le hip-hop ou encore la folk électronique. Dans cet album de 21 morceaux , on retrouve un casting éclatant : Fatoumata Diawara , Bonobo , Bootie Brown , Moonchild Sanelly , Imarhan , La Bruja de Texcoco , Jupiter & Okwess , M.anifest , Abou Diarra , Baba Sissoko , et bien d’autres. Africa Express, fondé en 2006 par Damon Albarn  et d'autres artistes, n’a jamais cessé de repousser les frontières musicales. Chaque aventure est unique, chaque rencontre imprévisible. Avec Bahidorá , ils signent l’un de leurs projets les plus audacieux et émouvants à ce jour. ✊ Hacernos Así  : une déclaration d’amour et de résistance Ce n’est pas simplement une chanson. Hacernos Así  est un acte de présence , un geste politique , un hymne à la tendresse trans , un instant suspendu qui donne corps à des voix souvent invisibilisées. Dans un monde où la diversité peine encore à trouver sa place, ce morceau nous rappelle que la musique peut être un abri, un cri d’amour et un espace de réparation. 💿 Précommandez l’album :   Africa Express presents… Bahidorá 📲 À partager sans modération pour faire rayonner ce message d’humanité et de beauté universelle.

Ce 1er juillet, la 31ᵉ édition de la Journée internationale du Reggae (International Reggae Day – IRD) invite plus que jamais à célébrer l’héritage universel de ce mouvement culturel. Sous le thème « One Love. One Voice. One Day. » , artistes, médias, plateformes et fans de plus de 30 pays se mobilisent pour faire résonner un appel à l’unité, à la vérité et à la fierté culturelle à travers le monde. Un thème, un message : agir ensemble Née des quartiers pauvres de Kingston, la musique reggae est rapidement devenue la bande-son d’une quête de justice sociale et d’égalité. « La Journée internationale du Reggae est le rappel vivant de ce que peut engendrer une musique quand elle inspire un véritable mouvement », confie Andrea Davis, fondatrice de l’IRD. Cette année, l’organisation pousse ce concept encore plus loin : un jour unique de célébration collective, où chaque voix compte. Tout au long de ces 24 heures, qu’ils soient DJs, podcasteurs, enseignants ou simples mélomanes, chacun est invité à (re)partager son amour du reggae : playlists solidaires, créations artistiques, rassemblements locaux, publications sur les réseaux sociaux… L’enjeu ? Montrer que, malgré les crises et les tensions géopolitiques actuelles, la musique peut être un vecteur de rassemblement et de paix. Le « Pull Up » mondial : un instant incroyable de synchronicité Le point d’orgue de la journée sera sans conteste le IRD Pull Up , à 11 h 55 (heure jamaïcaine) . À cette heure précise, des radios, sound systems, plateformes numériques et DJs de tous horizons interrompront leur programmation pour diffuser en boucle deux hymnes : « One Love »  de Bob Marley « Love & Hate »  de Dennis Brown Pendant quelques minutes, le monde entier vivra la même expérience sonore, incarnant l’idée que la musique transcende les fuseaux horaires, les langues et les cultures. Une célébration planétaire : des Caraïbes à l’Asie Plus de trente pays – de l’Argentine à l’Inde, en passant par la France, l’Afrique du Sud et la Zambie – participent officiellement à l’IRD 2025. À Kingston, des forums professionnels et des tables rondes (organisés avec JARIA et le Edna Manley College) réfléchiront à l’avenir du reggae, tandis qu’une rencontre hybride au Bob Marley Museum mettra en lumière la convergence entre musique et cinéma. À Londres, le collectif Harlesden Bassline propose promenades thématiques, débats et ateliers dans les quartiers anglophones ; à Mexico, PullItUp Radio assurera un flux continu de 24 heures et des showcases d’artistes locaux ; à Cape Town, Lima ou Jakarta, la programmation musicale s’annonce éclectique et festive. Deux prix pour honorer les valeurs du reggae Pour la première fois, deux distinctions mondiales seront remises : Winnie Mandela Humanitarian Award , lancé en 2024 et décerné à Rita Marley pour son engagement en faveur de la paix et de la justice. Peter Tosh Rebel With A Cause Award , décerné cette année par la Peter Tosh Foundation, qui célébrera un leader dont l’action reflète l’esprit révolutionnaire du reggae. Comment participer ? Rejoindre le #OneDropChallenge  : postez votre hommage (clip, photo, texte) en portant fièrement les couleurs du reggae. Planter un « Reggae Tree »  : un symbole de croissance et d’espoir. Organiser une rencontre locale  : ouvert à tous, du fan de riddims au professionnel de la musique. S’abonner au programme mondial  sur www.ireggaeday.com  pour être référencé et accéder aux contenus officiels. One Love. One Voice. One Day. Le reggae nous rappelle chaque jour que, malgré nos différences, nous partageons un même battement de cœur. Le 1er juillet, faites entendre la vôtre !

Le ReggaeMad Fest , qui s’est tenu les 26 et 27 juin 2025  à l’Autocine Madrid (C. de la Isla de Java, 2), a tenu toutes ses promesses en offrant une plongée festive et culturelle dans l’univers jamaïcain sous un ciel ibérique radieux. Jeudi 26 juin : une ouverture royale Heure d’ouverture : 18 h 00 Queen Omega & The Royal Souls  ont lancé les hostilités avec une performance intense. La chanteuse franco-jamaïcaine a enchaîné ses titres phares — de “Freedom Road”  à “This Love”  — sous une ovation du public, avant de conclure par un émouvant hommage à Bob Marley. Skarra Mucci & Live Band  ont pris le relais, embarquant la foule dans un set ragga plein d’énergie, ponctué d’improvisations et d’échanges complices avec les musiciens. Roots Rockers Sound System (featuring LASAI)  a transformé l’espace en véritable dancehall, les basses vibrantes se propageant jusqu’aux parkings du cinéma en plein air . Sets DJ  : Barbass Sound et Bass Busters ont prolongé la soirée avec des sélections dub et steppa, assurant une ambiance électrique jusqu’à minuit. Vendredi 27 juin : crescendo de sensations Heure d’ouverture : 17 h 00 Alborosie & Shengen Clan  ont illuminé la scène avec un show éclatant. L’Italo-jamaïcain a mêlé ses nouveaux morceaux à ses classiques, et a surpris le public par un medley reggae-dancehall mêlant le meilleur de ses deux cultures Natty Bo & Soweto  ont offert un moment de pure soul-reggae, leur complicité sur scène se traduisant par des harmonies vocales poignantes et une communion totale avec les spectateurs. Roots Rockers Sound System (featuring Brother Wildman des Emeterians)  a clôturé les lives avec un set roots dub exceptionnel, alternant classiques revisités et dubs inédits, tandis que les basses profondes faisaient vibrer chaque dune de bitume. Sets DJ  : Chalice Sound, Sista Joy et Toni Face ont pris le relais pour un aftershow endiablé, guidant la foule jusqu’à la tombée de la nuit. Un partenariat photographique d’exception Toutes les magnifiques photos  qui illustrent ce compte-rendu sont signées Territorio Music® , photographe de choc avec qui nous collaborons depuis 2024. Son regard unique a su capter l’énergie, l’émotion et la convivialité du festival à chaque instant. Pour revivre ces deux jours de vibes positives , retrouver l’intégralité du line-up , et découvrir les galeries complètes , rendez-vous sur le site officiel : reggaemad.com . Vibes & Respect – See you next year!

Découvrez dès maintenant l'EP très attendu Complex Love Riddim, une collaboration exceptionnelle orchestrée par R.A.O.F. Music et distribuée par Tuff Gong International. Cet EP réunit trois talents majeurs de la scène dancehall internationale : Gyptian, Complex Ricki et Boney Derrington, chacun apportant son style unique pour offrir une expérience musicale mémorable et éclectique. Complex Love Riddim : Une fusion captivante de styles et d'émotions Ce projet débute en force avec le titre "Body on Fire" de Gyptian, artiste jamaïcain mondialement reconnu pour ses mélodies soul et son énergie contagieuse. Ce morceau aux rythmes entraînants plonge directement au cœur vibrant du dancehall et promet de séduire les amateurs du genre tout en élargissant son audience à travers les frontières. Complex Ricki prend ensuite le relais avec son single "Vintage Love", un morceau dynamique où se mêlent habilement rythmes traditionnels du dancehall et touches modernes. Originaire de Jamaïque, Ricki se distingue par sa voix envoûtante et sa capacité à exprimer des émotions authentiques, renforçant sa position de nouvelle étoile montante de la scène reggae-dancehall. Enfin, Boney Derrington complète ce trio gagnant avec "Red Flag", un titre percutant et accrocheur. Né à New York de parents jamaïcains et haïtiens, cet artiste polyvalent excelle dans la fusion du dancehall et des Afro Beats, créant ainsi une signature sonore innovante et irrésistible. Après des succès comme "Big Girl" et "Distant Lover", "Red Flag" s'annonce comme le prochain tube majeur de Boney Derrington. Restez connectés avec Gyptian, Complex Ricki et Boney Derrington Pour ne rien manquer des actualités, des sorties musicales et des performances live de ces artistes talentueux, retrouvez-les sur leurs comptes Instagram : @realgyptian, @complex.ricki et @boneygramm. Avec sa combinaison de talents exceptionnels et sa diversité musicale remarquable, l'EP Complex Love Riddim s'impose comme une des sorties musicales les plus attendues et incontournables de l'année pour les fans de dancehall et d'Afro Beats.