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- Dub Inc met le feu : tournée 2026 🔥
Dub Inc n’a pas attendu longtemps pour rappeler à tout le monde qui règne sur la scène reggae hexagonale. À l’annonce de leur grand retour en 2026, les billets se sont envolés comme des petits pains chauds. Résultat : des salles sold out les unes après les autres, de Saint-Étienne à Paris en passant par l’Europe entière. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, le groupe prépare aussi la sortie de son nouvel album, ATLAS , attendu pour accompagner cette tournée historique. Saint-Étienne en fusion 💚 Retour aux sources pour les Stéphanois : le Zénith de Sainté prévu le 5 décembre 2026 a affiché complet en 48 heures chrono . Oui, vous avez bien lu. 7 000 places parties à la vitesse de l’éclair ! Le groupe, surpris mais porté par l’amour de son public local, a directement ajouté une seconde date le lendemain, le 6 décembre. Les deux soirs s’annoncent déjà légendaires. Olympia : la consécration ✨ Quelques jours plus tard, c’est la capitale qui explose : Olympia complet pour le 16 avril 2026. Pour un groupe indépendant , sans label majeur derrière eux, remplir cette salle mythique reste un symbole fort. Impossible d’en rester là : Dub Inc balance une deuxième date, le 6 novembre 2026. Paris va trembler deux fois plus ! La tournée en mode bulldozer 🚀 Partout où ils passent, c’est le même scénario. Nantes ? Dernières places. Bordeaux, La Rochelle, Lyon, Caen, Dijon ? Complet ! Lille, Genève, Nîmes ? Ça fond à vue d’œil.Et l’international n’est pas en reste : Barcelone, Madrid, Lisbonne, Amsterdam, Bruxelles, Luxembourg … toutes ces scènes vont bientôt goûter à l’énergie Dub Inc. ATLAS : un nouveau chapitre musical 🌍 Au-delà de la scène, Dub Inc dévoilera bientôt son nouvel album, sobrement intitulé ATLAS . Fidèle à son ADN, le groupe promet un disque puissant, ouvert sur le monde et ancré dans l’actualité. Un projet qui, comme son nom l’indique, ambitionne de cartographier l’âme du reggae moderne, entre conscience et énergie festive. De quoi électriser encore davantage une tournée déjà culte. Une aventure humaine et indépendante ✊ Depuis plus de 25 ans, Dub Inc trace sa route sans jamais se renier. Un son hybride, entre reggae roots, dancehall, dub et kabyle, des textes conscients qui fédèrent, et surtout une proximité unique avec le public . C’est cette recette magique qui fait qu’aujourd’hui encore, le groupe peut remplir des Zéniths et l’Olympia en un claquement de doigts. 2026 : l’année Dub Inc Avec cette tournée qui affiche complet partout et l’arrivée imminente de ATLAS , les Stéphanois confirment qu’ils ne sont pas juste un groupe de reggae français… mais un phénomène culturel . La vibe Dub Inc, c’est une fête, une transe collective, un message d’unité qui dépasse les frontières. Sainté, Paris, l’Europe entière : préparez-vous, parce que 2026 sera tout simplement l’année Dub Inc .
- Bill King Trio avec Paul Novotny et Mark Kelso – Live from the Jazz Room : Mint Julep Sessions
Le printemps 2025 apporte son lot de belles surprises dans l’univers du jazz. Le Bill King Trio , accompagné de deux musiciens de haut vol — Paul Novotny à la contrebasse et Mark Kelso à la batterie — dévoile un album live à la fois vibrant et intemporel : Live from the Jazz Room — Mint Julep Sessions , publié sous le label 7 Arts . Un enregistrement né d’un imprévu L’histoire de ce disque débute en mars dernier, lorsqu’un artiste américain programmé au Jazz Room ne peut honorer sa date. Le coup de fil vient de Mark Kelso lui-même, batteur reconnu et complice de longue date de Bill King. Sans hésitation, les musiciens saisissent l’occasion, ressortent leurs partitions et se retrouvent sur scène pour un moment unique. Déjà en septembre 2023, le trio avait marqué de son empreinte cette salle mythique de Kitchener/Waterloo , donnant naissance à un enregistrement live mêlant swing incandescent et profonde sensibilité. En avril 2025, ils récidivent, avec encore plus de liberté et de créativité. Entre compositions originales et classiques revisités Ce concert n’était pas seulement un retour : c’était aussi l’occasion pour Bill King de présenter des compositions personnelles inédites . Des morceaux jamais joués devant un public, qui attendaient ce cadre intimiste pour résonner. Chaque pièce s’installe comme une rencontre, entre groove urbain, soul jazz et balades raffinées. Mais l’album rend aussi hommage aux racines de la musique soul et jazz . Parmi les relectures marquantes : une version habitée de “What’s Going On” de Marvin Gaye, un détour chaleureux par “How Sweet It Is” signé Holland–Dozier–Holland, une interprétation malicieuse de “Mack the Knife” (Kurt Weill / Bertolt Brecht), et bien sûr, un clin d’œil savoureux à “One Mint Julep” , immortalisé par Ray Charles. Un trio en parfaite osmose La magie de cet album réside dans la démocratie musicale qui unit piano, contrebasse et batterie. Chacun a son mot à dire, chaque note devient un dialogue. On entend littéralement les sourires dans le swing, la complicité dans le groove, et la joie partagée dans chaque solo. Comme son titre l’indique, Mint Julep n’est pas qu’un cocktail à siroter. C’est un instantané de trois musiciens en mouvement , en symbiose, livrant une performance aussi élégante qu’authentique. Fiche technique de l’album Piano / Production / Mix & Cover Art : Bill King Basse : Paul Novotny Batterie : Mark Kelso Mastering : Jesse King Ingénieur du son : Jeremy Bernard Enregistré au Jazz Room (Kitchener/Waterloo) le 19 avril 2025 Label : 7 Arts Avec Live from the Jazz Room — Mint Julep Sessions , le Bill King Trio signe un album live qui s’impose déjà comme un incontournable de l’année 2025 pour tous les amoureux de trio jazz, soul jazz et standards revisités .
- Blaze Mob & DZL frappent fort avec “World Crisis”, un hymne reggae face au chaos mondial
Le trio reggae Blaze Mob signe son grand retour avec un single puissant et engagé : “World Crisis” , disponible dès maintenant via DZL Records et distribué par Tuff Gong International . Produit par l’ingénieur et producteur jamaïcain Dale “Dizzle” Virgo , ce titre s’impose comme une véritable clameur roots face aux crises multiples que traverse notre planète. Un reggae conscient pour des temps troublés Avec “World Crisis” , Blaze Mob offre un chant universel contre la guerre, la pauvreté et la décadence morale. Sur une rythmique roots marquée par des percussions militantes et des lignes de basse profondes , le trio développe un message fort : unir les peuples plutôt que les diviser. Les mélodies envoûtantes et l’énergie spirituelle de la production traduisent à la fois la douleur et l’espoir d’une humanité en quête de lumière. Le refrain résonne comme un mantra : “The world is in a crisis / No need for fuss and fighting / Better off united.” Un appel urgent à l’unité et à la guérison collective, qui prend une résonance particulière dans le climat mondial actuel. Les héritiers d’une grande lignée reggae Fils du regretté Garth Dennis (Black Uhuru, Wailing Souls), Blaze Mob poursuit la mission musicale de leur père : porter un reggae militant, porteur de conscience et d’authenticité. Après le succès de “Moving Over Barriers” , le groupe s’affirme une nouvelle fois comme un porte-voix de la jeunesse rasta et une relève crédible des grandes légendes du roots reggae. Une campagne digitale et un clip lyrics En parallèle de la sortie du morceau sur toutes les plateformes de streaming, un lyric video officiel accompagne “World Crisis”, renforçant la dimension pédagogique et engagée du titre. Une campagne digitale grassroots est également mise en place afin de sensibiliser le public aux crises humanitaires actuelles, confirmant l’engagement social et spirituel de Blaze Mob. Un titre pour les amateurs de reggae engagé “World Crisis” n’est pas seulement une chanson, mais une déclaration musicale qui résonne comme un miroir de notre époque. Pour tous les passionnés de reggae culturel et de musique consciente , Blaze Mob et Dale “Dizzle” Virgo livrent ici un single incontournable, prêt à marquer les esprits et à nourrir les réflexions.
- L’instabilité politique française, une menace directe pour le secteur de la musique
À la rentrée 2025, la France replonge dans une zone de turbulences politiques. Entre le vote de confiance du 8 septembre, la possible dissolution de l’Assemblée nationale et la succession annoncée au ministère de la Culture, le climat d’incertitude inquiète les acteurs du secteur musical. Une filière qui, déjà fragilisée par des coupes budgétaires et des mutations structurelles, redoute de voir ses priorités reléguées au second plan. Une crise institutionnelle qui paralyse la culture Depuis les élections législatives anticipées de 2024, l’exécutif peine à trouver une majorité stable. Le gouvernement Bayrou, en place depuis quelques mois, joue sa survie parlementaire le 8 septembre. Une éventuelle dissolution provoquerait un nouveau séisme politique, synonyme de paralysie réglementaire. Pour la musique, dont l’avenir dépend de mesures législatives sensibles (taxe streaming, plafonnement de la taxe sur la billetterie, régulation de l’IA appliquée à la création), le risque est grand de voir les dossiers repoussés. Des financements déjà en recul Selon le Syndicat des Musiques Actuelles (SMA), la culture subira une baisse de 135 millions d’euros en 2025, notamment via les coupes dans les budgets des collectivités territoriales. Le ministère de la Culture a prévu un budget de 4,44 milliards d’euros , dont 126 millions pour les festivals et scènes de musiques actuelles, et 26,9 millions pour le Centre national de la musique (CNM). Une enveloppe en recul d’1,3 million par rapport à 2024, qui accentue les inquiétudes. Rachida Dati, entre engagement et départ annoncé Nommée ministre de la Culture début 2024, Rachida Dati avait entrepris de replacer la musique au cœur de l’action publique : réglementation des niveaux sonores en festivals, création d’un droit voisin pour les producteurs live, ou encore mise en place de la France Music Week avec un engagement de 500 millions d’euros via Bpifrance d’ici 2030 . Elle avait également consolidé la trajectoire de financement du CNM grâce à la future taxe sur le streaming. Mais son avenir politique est désormais ailleurs. Engagée dans la course à la mairie de Paris (mars 2026) et fragilisée par son renvoi devant le tribunal correctionnel pour corruption et trafic d’influence, elle devrait quitter prochainement le gouvernement. En cas de changement de ministre, rien ne garantit que son successeur reprenne ces dossiers. Une filière dynamique mais vulnérable La musique en France traverse pourtant une phase de vitalité : un rebond de la billetterie live en 2024, dynamisé par les Jeux olympiques, des études sur la place des femmes dans la filière menées par le CNM, et l’émergence de nouveaux métiers hybrides associant musique, technologie et écologie. Mais ces dynamiques pourraient être freinées si les arbitrages politiques ne suivent pas. Un risque de désengagement durable Au-delà du court terme, c’est l’ensemble de la relation entre l’État et la culture qui semble fragilisé. Le mécénat culturel, pilier essentiel du financement des artistes et festivals, est lui aussi sous pression, menacé par l’incertitude économique et les débats sur la loi Aillagon. L’histoire récente rappelle que rares sont les ministres de la Culture à avoir durablement marqué de leur empreinte la filière musicale. Rien ne laisse présager que la période actuelle, minée par l’instabilité institutionnelle, fasse exception. En résumé , la musique française entre dans une zone de turbulences. Entre coupes budgétaires, départ programmé de Rachida Dati et risque de paralysie gouvernementale, les acteurs de la filière craignent de voir s’envoler les avancées obtenues ces derniers mois. L’échéance du 8 septembre, avec son possible cortège de bouleversements, sera un moment décisif pour l’avenir de la musique en France.
- Reggaddiction & D.M. célèbrent l’amour avec l’hymne reggae “Ah Dat”
Le collectif reggae torontois Reggaddiction , accompagné de la voix chaleureuse et profonde de D.M. , dévoile son nouveau single “Ah Dat” , distribué par le mythique label Tuff Gong International . Un morceau vibrant, qui fusionne racines jamaïcaines, énergie moderne et célébration universelle de l’amour. Une ode aux femmes, piliers de la culture Porté par un one drop irrésistible enrichi de touches vintage dancehall et d’une douce influence soul, “Ah Dat” rend hommage aux femmes qui incarnent force, tendresse et fierté culturelle.Des collines rurales aux rues animées de Half Way Tree , le titre peint le portrait de celles que tout roi appellerait sa reine : des femmes inspirantes, qui élèvent, soignent et transmettent l’énergie positive de la vie. Le refrain accrocheur résonne comme un mantra : “A Dat what me want… Woman with Jah Jah love inna her heart” – une déclaration à la fois ludique et spirituelle, qui souligne l’importance de la connexion sincère et des valeurs profondes dans les relations humaines. Une production au cœur de la Jamaïque Enregistré au légendaire Harry J Studio en Jamaïque et produit par l’équipe de Reggaddiction, le morceau respire l’authenticité. Le son transporte instantanément l’auditeur vers des paysages baignés de soleil, tout en gardant une modernité capable de séduire aussi bien les puristes du roots que les amateurs de reggae actuel. Reggaddiction : l’âme reggae de Toronto Fondé en 2019, Reggaddiction est un groupe de dix musiciens passionnés qui marient l’héritage intemporel du reggae jamaïcain aux influences canadiennes. Leur mission : répandre un message d’unité, de communauté et de positivité, à travers des performances où la musique devient un voyage partagé. Avec “Ah Dat” , le collectif signe un hymne fédérateur qui relie les cultures et rappelle que l’amour véritable – guidé par la lumière de Jah – reste une force universelle.
- Nomade Reggae Festival : 10 ans de vibrations à Anglefort
Du 31 juillet au 3 août 2025, le village d’Anglefort (Ain) a tremblé au rythme du reggae. Pour souffler sa 10e bougie, le Nomade Reggae Festival a offert non pas trois, mais quatre jours de musique et de partage, un anniversaire célébré comme il se doit, avec une énergie contagieuse et une programmation de haut niveau. La première soirée a donné le ton, entièrement consacrée aux Sound Systems. Les basses ont résonné aux quatre coins du site, créant une ambiance vibrante et festive, où chaque pas faisait écho au battement du reggae. Puis, au fil des jours, la grande scène a vu défiler des noms qui font battre le cœur du public : Danakil, Pierpoljak, Skarra Mucci, Clinton Fearon, Yaniss Odua, Nuttea, Princess Erika, Soom T, Broussaï, et bien d’autres encore. Des artistes venus partager leurs messages, leur groove, et rallumer la flamme du reggae dans l’Ain. Tout s’est déroulé sans le moindre retard dans la programmation, un vrai confort pour les festivaliers qui ont pu profiter des concerts. Mais le Nomade Reggae Festival, ce n’est pas seulement la musique. C’est aussi un engagement. L’association organisatrice, portée par Baffing, poursuit avec détermination ses projets solidaires au Mali, notamment le centre de soins pour les femmes victimes d’excision, dont les avancées ont été confirmées cette année encore. Pour ses 10 ans, le festival a prouvé une fois de plus qu’il est bien plus qu’un simple rendez-vous musical : une vibration humaine, une fête consciente, et une promesse que le reggae continuera de rassembler, d’éveiller et de soigner les cœurs. Lyon Eyes Photography
- La Queen of Dancehall Spice frappe fort avec “Slow Motion” ft. Lavbbe – produit par Shaggy !
Le monde du Dancehall est en ébullition : Spice , la reine incontestée de la scène, vient de dévoiler son tout nouveau single “Slow Motion” , en collaboration avec la sensation Lavbbe , artiste britannique d’origine roumaine et véritable star des réseaux sociaux. Disponible dès aujourd’hui via VP Records & Ranch Entertainment , ce titre est déjà annoncé comme le nouveau guide des dancefloors de 2025 . ✨ Une rencontre explosive D’un côté, Spice, icône planétaire, adulée pour son énergie scénique et son flow imparable. De l’autre, Lavbbe, artiste multi-talents dont la voix suave et les millions de followers font tourner toutes les têtes. Ensemble, elles créent une alchimie qui transcende les frontières et donne naissance à un banger taillé pour les clubs, les festivals et toutes les playlists du moment. 🎛️ Une production signée légende Aux commandes ? Rien de moins que Shaggy , figure mythique de la musique caribéenne, accompagné du producteur Shane Hoosong . Leur touche donne à “Slow Motion” une puissance unique : des basses qui vibrent, un riddim irrésistible et des breaks calibrés pour faire monter la température. 🔥 Pourquoi ça cartonne déjà ? Spice livre un déferlement de vibes dancehall avec une aisance qui prouve une fois de plus pourquoi elle est la Queen. Lavbbe ajoute une sensualité pop avec des mélodies chantées qui contrastent et complètent le style incisif de Spice. Le résultat ? Un hymne chorégraphique , une véritable dance instruction qui pousse les auditeurs à se laisser aller au rythme… en Slow Motion . 👉 Stream maintenant & laissez-vous emporter :🎶 Écoutez “Slow Motion” ici 🌍 Le mot d’ordre est clair : Slow Motion va devenir la BO de vos soirées. Préparez-vous à voir les challenges TikTok exploser, les DJs le balancer en boucle et les foules vibrer à chaque drop. 💥 Une chose est sûre : Spice et Lavbbe viennent de signer le hit dancehall international de la rentrée .
- No Logo Festival : une dernière danse dans le Jura avant de vibrer à Ornans
Lyon Eye s Photography La douzième édition du No Logo Festival vient de s’achever en beauté dans le Jura. Une édition pas comme les autres, pleine d’émotions, car c’était la dernière fois que le festival posait ses valises sur ce site mythique. Du 8 au 10 août 2025, le public a vibré trois jours durant, porté par une programmation exceptionnelle et une ambiance toujours plus intense. Le No Logo Festival s'est tenu pour la dernière fois dans le Jura avant de s’envoler vers un nouveau site. Le No Logo, c’est une expérience unique : des concerts de 13h à 5h du matin, répartis entre la grande scène, la Dub Factory, et le chapiteau situé sur le camping, transformé en véritable espace de fête nocturne. Trois jours non-stop où la musique n’a jamais cessé de battre. Cette année encore, les artistes ont embrasé le site : Burning Spear, Clinton Fearon, Fonky Family, Tairo, David Rodigan, Yaniss Odua, Third World, Biga*Ranx, Twinkle Brothers, Ky-Mani Marley, Danakil, Neg’Marrons, Ayo, sans oublier les Dub activistes comme Mad Professor, Kanka, Ashkabad, Rakoon, Omega Nebula… Une affiche riche, entre légendes du reggae, nouvelles voix et explorateurs du dub. Un hommage vibrant et plein d’émotion a été rendu à Naâman, entouré de ses amis, de sa compagne et de ses parents, unis dans la musique et l’amour pour célébrer sa lumière et son héritage. Avec une organisation fluide et impeccable, le festival a accueilli près de 20 000 festivaliers par jour, soit 53 000 billets vendus au total. Un succès qui témoigne de la fidélité et de l’énergie de la communauté No Logo. Pour conclure cette dernière édition jurassienne, un feu d’artifice grandiose a illuminé le ciel, comme un dernier cadeau au public et au territoire qui l’a accueilli pendant toutes ces années, et une promesse que l’esprit du festival continuera de briller ailleurs. Et déjà, l’avenir est annoncé : en 2026, le No Logo écrira son nouveau chapitre dans le Doubs, à Ornans, où les vibrations reggae continueront de rassembler les cœurs. Merci au Jura pour toutes ces années de partage, et rendez-vous dans le Doubs pour une nouvelle aventure musicale et humaine, toujours 100 % libre et indépendant. Lyon Eye s Photography
- Kennard dévoile Proceed 2 : un voyage intime au cœur du R&B authentique
Le chanteur et compositeur Kennard , originaire de Baltimore (MD, États-Unis) , revient sur le devant de la scène avec la sortie de son nouvel album original Proceed 2 , disponible depuis le 22 août 2025 . Fruit de deux années de travail acharné, cet opus n’est pas seulement une collection de morceaux : c’est un récit personnel, une œuvre sincère façonnée par les épreuves et les émotions de l’artiste. Un projet façonné par la patience et la sincérité Kennard a pris le temps de peaufiner chaque titre, fidèle à sa philosophie : « Rome n’a pas été construite en un jour ; prenez votre temps. La musique est un art, pourquoi la précipiter ? » Cette approche minutieuse se ressent à travers l’ensemble de l’album, qui respire la profondeur et l’authenticité. Des influences old-school pour un R&B de cœur Avec Proceed 2 , Kennard revendique son attachement à la soul et au R&B old-school . L’album raconte des histoires vraies, des fragments de vie qui résonnent universellement. On y retrouve l’unique collaboration avec Jamonie Lee , musicienne talentueuse de Los Angeles, sur le morceau “I Just Gotta Know” , un retour aux racines du R&B où émotion et mélodie se rencontrent. Entre douleur et renaissance L’album puise sa force dans les expériences personnelles de l’artiste : le décès de sa tante il y a quatre ans, puis celui de son oncle l’année dernière. Ces blessures intimes trouvent leur écho dans des titres comme “Rain” , où Kennard met en musique le deuil et la mémoire, offrant à ses auditeurs une expérience cathartique et profonde. Un enregistrement en toute liberté Enregistré au Wright Way Studios , Proceed 2 s’est construit autour d’une démarche libre et créative. Kennard s’est autorisé à explorer, tester et peaufiner chaque nuance, aboutissant à un projet aussi brut qu’élégant. Une connexion directe avec le public Kennard ne cherche pas seulement à séduire par des sons, mais à établir un lien humain avec ses auditeurs. Chaque chanson est pensée comme une conversation intime, une passerelle entre son vécu et les émotions de ceux qui l’écoutent. Et après ? Alors que Proceed 2 vient tout juste de paraître, Kennard se prépare déjà à retrouver la scène. Prochainement, il sera de retour à New York , une ville qu’il affectionne et où il se produit régulièrement. Une déclaration d’amour à la musique Plus qu’un album, Proceed 2 est une déclaration d’amour à l’art musical. Kennard le résume simplement : « J’aime ce que je fais. » Avec cet opus, l’artiste de Baltimore prouve qu’il est possible de rester fidèle à ses racines tout en livrant une œuvre universelle, capable de toucher chaque cœur en quête de vérité et de soul authentique.
- Codemachia – We Are The Glitch : quand l’erreur devient manifeste musical
Avec We Are The Glitch , Codemachia signe un morceau d’ouverture qui dépasse la simple expérience sonore pour s’imposer comme un véritable manifeste. Extrait de son album Gladius Æternus , ce titre incarne l’essence même de son univers : une fusion d’électronique contemporaine et d’arrangements orchestraux monumentaux, au service d’une narration qui réinvente les codes de la musique épique. Dès les premières secondes, l’auditeur est happé par une interprétation vocale intime, presque murmurée, comme une confession. Puis vient la déflagration : un mur orchestral et électronique se dresse, porté par des rythmes fracturés et des chœurs ascendants. Cette montée en puissance traduit l’idée centrale du morceau : l’acceptation du glitch, de l’imperfection, comme acte de rébellion et affirmation de soi. « Chaque dissonance, chaque glitch, devient une revendication d’identité », explique Codemachia. Et c’est précisément cette audace qui confère au morceau son énergie cinématographique et son pouvoir immersif. On ressort de l’écoute comme après avoir assisté à une scène clé d’un film : secoué, mais grandi. Un univers narratif total : Gladius Æternus We Are The Glitch n’est pas qu’un single, c’est aussi la porte d’entrée vers un monde entier. L’album Gladius Æternus raconte l’épopée de Yusuf , le Fantôme qui a refusé l’effacement. Chaque piste est pensée comme le chapitre d’un roman sonore où se croisent ruines post-apocalyptiques, entités numériques et luttes intérieures. L’éveil dans les cendres : une résurrection dans les décombres de Tombouctou-Ash. Le Puits des Larmes : un sanctuaire maudit où se dissolvent les souvenirs. Le mur des mensonges : la confrontation de Yusuf aux manipulations d’Hathor.∞. Danse des circuits brisés : la rébellion d’une technologie défectueuse. Victoire empoisonnée : grandeur orchestrale teintée d’amertume. La Convergence : un climax épique vers l’Arène des Murmures. Nous sommes le problème : une déclaration finale qui boucle la boucle avec We Are The Glitch Chaque morceau joue son rôle dans ce récit dystopique, où la musique devient à la fois décor, narration et personnage. Une esthétique rare : entre intime et colossal L’une des grandes forces de Codemachia réside dans sa capacité à tisser des textures électroniques futuristes avec des orchestrations grandioses. On pense aux grandes bandes originales de science-fiction, mais ici la démarche est plus personnelle : chaque note semble porter une part d’intimité, chaque glitch devient une cicatrice sublimée. Résultat : une œuvre totale, qui captive autant les amateurs d’électronique que ceux de musique orchestrale, et qui ne laisse personne indifférent. En conclusion Avec We Are The Glitch , Codemachia réussit le pari de transformer l’imperfection en beauté, l’erreur en force. C’est plus qu’un morceau : c’est une déclaration d’intention, un appel à embrasser nos failles comme des marqueurs d’identité. À travers Gladius Æternus , l’artiste impose un univers unique, hybride, où la musique n’est pas seulement entendue, mais vécue comme une expérience totale — entre confession intime et fresque épique. 👉 We Are The Glitch est disponible dès maintenant sur toutes les plateformes. Plongez dans l’univers de Gladius Æternus et laissez-vous emporter par ce voyage où chaque glitch devient lumière.
- RedLight dévoile “As Always” – Rock DIY, Marseille dans les veines
L’histoire de As Always ne commence pas dans un studio high-tech aux parois vitrées, mais dans un salon bricolé en cockpit, quelque part à Marseille. Dapé tourne les potards, les murs vibrent, la sueur colle au plafond, et le morceau s’allume comme un néon rouge sur la Corniche. Pas de mythe luxueux ici : RedLight reste fidèle à son ADN, celui d’un groupe qui cultive depuis 2007 une foi DIY indéfectible, entre bière tiède, câbles emmêlés et passion brute. Un son brut, taillé à la main Techniquement, As Always vise la morsure sans oublier la caresse. Guitares en double piste – l’une liquide en chorus, l’autre plus sèche et croustillante –, basse compacte qui roule en dessous comme une alliée, batterie droite mais jamais rigide. Les charleys respirent, la caisse claire tranche sans écraser, et la voix garde son grain naturel. Pas d’artifices : on entend la pièce, la respiration entre deux phrases, les petites bavures qui deviennent autant de polaroids vivants. Un télescopage d’influences C’est toute la signature RedLight : l’ombre de The Cure qui glisse sur une ossature power-pop, l’élan Pearl Jam qui alourdit le refrain, un clin d’œil rythmique aux Beastie Boys , et même, par instants, une acidité à la Prodigy qui surgit par en dessous. Pourtant, rien de poseur : la mélodie refuse la grandiloquence, elle préfère serrer au bon endroit, avec ce quart de ton nostalgique typique des étés marseillais qui refusent de mourir. Fidèle à l’ADN du groupe Fondé en 2007 à Marseille, RedLight s’est forgé un style unique en puisant dans les multiples facettes du rock des années 80 à 2000. Leur premier album Crash System Control posait déjà les bases d’un mélange où guitares et mélodies tenaient le premier rôle. As Always s’inscrit dans cette continuité : sincère plutôt que cynique, énergique sans esbroufe. Couplets compacts, pont en montée douce, refrain qui s’élargit juste ce qu’il faut – un équilibre maîtrisé. Un avant-goût d’album Avec ce single, RedLight rappelle qu’on peut faire du rock mélodique en 2025 sans tomber dans le cosplay, en assumant le grain du présent. L’écho reste, Marseille colle à la peau, et l’on devine déjà la couleur du prochain album prévu pour le 14 mars 2025 , enregistré et mixé par Dapé dans le home-studio du groupe. As Always ? Oui : fidèle au RedLight que l’on connaît, mais un cran plus vif, plus salé, plus sûr. 🔗 Écouter & suivre RedLight Bandcamp Spotify Facebook YouTube
- Shelita dévoile “Bloom” — une chanson d’amour universel avant son nouvel album Into the Depths
Shelita, une artiste internationale qui bouscule la pop moderne Reconnue par des médias de prestige tels que NPR, Billboard et Forbes , l’artiste américaine Shelita s’impose comme une voix singulière et audacieuse de la scène pop internationale. Après le succès de ses précédents projets, elle revient avec un single lumineux : “Bloom” , extrait de son très attendu album Into the Depths . “Bloom” : entre reggae pop, world music et vibrations positives Sorti comme troisième single du prochain album, “Bloom” est un titre porté par des influences reggae pop et world music . On y retrouve la signature de Shelita : des vocaux soul puissants , une production envoûtante , et surtout une énergie solaire qui invite à danser, sourire et célébrer la vie. “There is a universe of love inside of you… The universe is me and you.” Avec ces paroles, Shelita transforme “Bloom” en un hymne spirituel et universel, capable de toucher autant le cœur que l’âme. Une chanson d’amour à l’univers — et à l’amour de sa vie Pour Shelita, “Bloom” a une dimension profondément personnelle. L’artiste explique : « En écrivant une chanson d’amour à l’univers, l’univers m’a offert, en retour, l’amour de ma vie. Cette chanson est pour mon amour. » Un message qui illustre parfaitement la démarche artistique de la chanteuse : faire de la musique un pont entre l’intime et le collectif , entre vérité intérieure et célébration universelle. Un avant-goût de l’album Into the Depths Attendu prochainement, Into the Depths promet un voyage musical transformateur où Shelita explore l’amour, la spiritualité et la beauté de l’existence. Avec “Bloom” , elle donne un aperçu de la richesse sonore et émotionnelle de ce projet, confirmant son statut d’artiste visionnaire et inclassable . 👉 Pourquoi écouter “Bloom” de Shelita ? Pour ses influences reggae pop et world music qui respirent la joie. Pour ses paroles inspirantes , véritables mantras d’amour universel. Pour la voix envoûtante de Shelita, capable d’émouvoir et de rassembler. Parce qu’il annonce un album qui pourrait marquer l’année 2025 : Into the Depths . Conclusion Avec “Bloom” , Shelita nous offre bien plus qu’une chanson : une invitation à aimer pleinement , à se connecter à l’univers et à célébrer l’énergie de la vie. Un morceau solaire, intime et universel à la fois, qui confirme le talent unique d’une artiste en pleine ascension.


















